Sunday RDV (2)

Une robe idéale pour une photographie... Suite et fin d'un doux dimanche en attendant le prochain avec impatience. Ou l'art d'apprivoiser cette journée longtemps détestée... En grandissant, en évoluant, j'aime de plus en plus le dimanche, pour ce qu'il a de particulier, pour ce qu'il renferme de plus juste, pour ce je ne sais quoi d'indéfinissable qui nous rempli tous le coeur de mélancolie mais aussi de patience et de laisser - aller admirable. Alors sur ces belles paroles, à dimanche prochain ! (Non, non mon blog ne va pas devenir un RDV dominical je vous rassure, mais en ce moment avec l'école et tout le tralala du quotidien le dimanche est la seule journée ou je peux m'occuper pleinement de mes photos eheh, une fois le rythme trouvé - ouichezmoiilesttrèsslongàvenir- il y aura des rdv le samedi, le lundi, le mercredi youhouuuu)

A.

Sunday RDV.

Je me surprend très souvent à aimer photographier les dimanches à la maison. Me rendant compte que mon dernier article consacré à la photographie tombe un dimanche... Dimanche d'automne. Je crois que c'est mes préférés. Doux de sonorité, lent d'allure, calme de tempo'. On s'y love avec évidence et réconfort, on y cherche rien, on arrive même parfois à oublier le lundi qui suit. Les dimanches d'automne sonnent juste, sentent le thé et l'infusion, respirent de couleurs et de luminosité. Les dimanches d'automne sont là, accoudés aux lundis, sans prétentions ni démesures. La plus belle des robes pour une photographie...

Premiers pas.

"Toute première fois, tout..toute première fois" Bon effectivement la chanson n'est pas très, très appropriée au sujet mais c'est l'idée ahahah. Le petit gervais fait ses premiers pas dans la presse, et ça fait tout drôle. On commence en bas de l'échelle (mais tout de même pas rien) avec le journal de ma région (youhouuuu une picarde grande nouvelle hein ? Mouais. Mais moi je suis comme tintin reporter, j'ai voyagé partout, non non ça fait pas 20 ans que je suis une picarde ahah, j'ai été bretonne, parisienne, ile de france(ienne), j'en passe et j'en passe). Bref là n'est pas la question. Premier article, première fierté, premier coup de projecteur sur mon blog et ça c'est méga chouette. On notera quelques fautes d'orthographes dans l'article, quelques paroles déformées également, mais ça c'est le graaaaaand problème du journalisme, on dit bien ce qu'on a envie de dire. Je remercie tout de même Amara sans qui je ne me serais jamais lancée, je remercie également Adeline Collet pour sa gentillesse lors de mon interview. Je remercie aussi tous mes amis/proches qui m'ont envoyés des petits mots tout doux. Et puis vous qui me connaissez un peu plus maintenant, vous savez que l'echelle je suis pas prête de la lâcher, je grimpe, je grimpe, pour regarder ma vie d'en haut comme Peter Pan.

A

Pour lire l'article en entier :
http://www.courrier-picard.fr/Actualites/Dossiers/Le-blogueur-de-la-semaine/La-mode-enfantine-m-attire-depuis-mes-17-ans

Un manège pas comme les autres..

Je n'en ai pas encore parlée, et pourtant... Le Carrousel, c'est LA boutique en ligne à découvrir depuis la rentrée. Une boutique en ligne mais pas que. C'est des pièces toutes plus belles les unes que les autres pour les petits de 6 mois à 10 ans. C'est un choix de tissus très grand, des lignes qui se dessinent sur tous les âges et qu'on pourrait définir d'intemporelles... Mais le Carrousel c'est avant tout l'histoire de Marie-Laure, une histoire de goût, d'esthétisme, d'enfance, d'ambition, d'optimisme et de gaité grandissante. Et son histoire, que l'on retrouve dans chacune de ses créations, est à lire, à partager, à vivre pleinement, avec douceur, raffinement, curiosité et simplicité tel un tour de manège...

A.

Photos : Le Carrousel

Formspring Her.

Internet est l'invention la plus brillante, mais aussi la plus terne qui à pu naître de la Connerie/du Génie humain. Le plus droit des hommes quel qu'il soit, finira toujours par être poussé via l'incroyable force commerciale/anti-morale/et stratégique d'internet à dévoiler une partie de sa vie. Ah ben non me direz vous, personne ne nous force à. Effectivement personne. Mais indirectement, dévoiler des morceaux de sa vie, devient une sorte "d'éducation" à la phrase suivante "Vivre avec son temps". Je sais que je vais tenir trois jours, que cet "institution à l'étalage, à la curiosité démesurée sensiblement assimilé au vice humain (et je dis bien humain, car c'est humain moi même je suis curieuse d'un tas de choses sur les gens, moi même j'ai su porter un jugement sur telle ou telle personne bon ou mauvais, moi même j'ai eu ma part d'humanité allant de la jalousie à la rancoeur en passant par la case "gestion d'égo" et sans passer par la case "prendre du recul" sur les choses, oui oui, ça m'est arrivée, car nous sommes tous et avons tous nos instants profondémments humains en terme de réactions)" appelé Formspring ou en plus simple "Questionnaire à échelle humaine - Je veux tout savoir, absoluemment tout, tu pourras rien me cacher" ben, ben, je connaissais pas. Non je connaissais pas, vous connaissiez vous ? Je parle aux mamans bloggeuses qui me suivent depuis longtemps méga longtemps et que j'adore même si je le dis pas assez souvent :))) Voui parce que je pensais qu'il n'y avait que vous, mais je crois qu'il y a aussi des jeunes filles de mon âge qui passent par là et qui demandent à en savoir plus sur Le Ptit Gervais... Alors voilà. Voilà. Le principe est bateau, l'idée à l'encontre de ma façon de fonctionner, mais j'ai dis que je tenais au moins trois jours, pour que Marine elle soit plus embêtée avec les questions sur Audrey sur son propre Formspring :)

http://www.formspring.me/audreyricoul

(J'ai peur)

A.

Au chaud.

Automne. Ca y est. Nous ne pouvons plus parler d'été Indien. La Cheminée reprend vie, les douceurs du mois d'Octobre avec, les RDV parfumés, les jolis emballages, les bulles de champagne, les bols de lait chaud, les dimanches tout doux, les larges pulls, les grandes écharpes, les petits matins glacés, les métros pleins à craquer. Tout est là, saison après saison, les ambiances valsent à travers les températures du temps, tout est rythmé, tout est en équilibre avec les saisons, absoluemment tout. Savoir si je préfères l'hiver ou l'été, à vrai dire je ne sais pas. Il existe tant et tant de choses belles et agréables dans les deux cas... Qu'en pensez vous ?

Très belle semaine

A

Joyeux Anniversaire.

L'anniversaire d'une maman, ne ressemble ni à celui d'une amie, ni à celui d'un frère, ni à celui d'une collègue, encore moins à celui d'un enfant. L'anniversaire d'une maman, est un moment particulier, un moment doux, curieux, sensible, léger, parfumé. 20 ans que je suis baignée de son amour, de sa tendresse, de sa beauté. 20 ans que je grandis aux côtés de celle que j'admire le plus au monde, tant à travers sa générosité et son humanisme débordant, qu'à travers sa façon bien à elle de créer du bonheur autour des gens qui l'entourent. 20 ans que je lui écris des petits mots, que je porte son parfum, que je cherche ses câlins, que je retiens ses sourires, que je me réconforte au son de sa voix. Je n'ai rien d'assez grand, et d'assez solide pour lui rendre tout son amour, sinon le fait de devenir femme et mère de la même façon qu'elle. Et voilààààààà d'abord parce que c'est pas ici qu'on doit tout se dire, tout se dis sur des jolies feuilles de papier qu'elle planque dans ses petits tiroirs secrets.

Joyeux Anniversaire Maman

Je t'aime

A.

Billet d'Humeur

Parfois, à l'école on nous parle souvent de "Billet d'humeur" terme accordé à un encart journalistique, à une notion qu'elle soit politique, économique, sociale, culturelle, sociétaire, littéraire, et j'en passe. Et puis parfois, comme aujourd'hui, il me semble bon, esthétiquement correct, ou instinctivement juste de considérer ce terme au mot près. Le billet d'humeur. Quelle est l'humeur ? Ni bonne, ni mauvaise, ni juste, ni totalement fausse, ni sensible, ni combative, l'humeur elle est là, accrochée à une rencontre, à un souvenir, à un instant clé, à une photographie. L'humeur elle peut se multiplier par dix en une seule journée, s'habiller d'un nuancier de couleurs en un quart de secondes. L'humeur pour moi est à la création, tout le temps. Mais il existe des choses qui ne se créent pas, qui ne se commandent pas, comme cette petite fille dans la rue prise de gourmandise, prise à l'instant clé, et comme ces deux autres petites filles (Voir Le Vestiaire de Jeanne et Les Zigouis en lien sur ce blog) conscientes qu'un appareil les observent, les "figent", les "retiennent" mais inconscientes de l'histoire qu'elles dissimulent dans leurs regards, comme toutes ces choses discrettes, indéniablement belles qui passent en un éclair. Bien souvent on aimerait s'y envelopper le temps de se réchauffer au "beau" au "créatif", à l'intuition. Utiliser la photo et le regard des autres comme une grande couverture dont la matière et le confort n'existeraient que dans l'usage de notre imagination. Est ce que quelqu'un me suit ? :-)))) Alors Merci à Jeanne encore et toujours pour les mêmes raisons qui accompagnent mon admiration quant à sa personnalité, merci à Barbara Berrada pour sa créativité et son sens des gens et des enfants absoluemment fabuleux, merci à cette petite Inconnue d'avoir pris le temps, l'envie, le temps d'une barbapapa, de devenir pour moi une couverture photographique incroyablement belle.

A.