29 novembre 2010

Vidéo 2.

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Deuxième aperçu de "Vidéo conclusion" cette fois ci pour un exposé sur "Le positionnemment marketing de la marque Perrier". Une bonne partie de fous rires avec mes acteurs (autrement dit ma petite soeur et un ami a elle), un dimanche après midi vide d'inspiration, mais un résultat rigolo.



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Vidéo 1.

Cette année, à l'école on nous demande de "surprendre". 1 projet (dit "exposé") ou 2 par trimestre ce qui veut sous entendre -pas de possibilité de se louper-. Du fond, de la forme, de l'esprit, de la création, du bon sens, de l'application, de la rigueur, un brin d'humour, une touche d'optimisme et d'esprit critique, des dossiers à rendre, de l'oral individuel à soumettre... En gros, ma hantise. Mal à l'aise à l'oral, de nature réservée, j'ai trouvé LE truc qui me rend à chaque passage folle de "hâte" à l'idée de présenter mes exposés : monter une vidéo rigolote, qui détendra l'atmosphère, et bouclera la fin de tous mes exposés. Première expérience réussie avec un grand R. ( pas de stress, du plaisir à parler, des élèves et un prof ravi, des sourires et des applaudissements) pour un exposé sur Silly Bandz (voui, voui je vous en ai déjà parlé !)  

Dimanche (bordel)

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Margotte la soeurette s'amuse de sa nouvelle paire de chaussures, les pommes se transforment en tartes, les cendres s'évaporent, ne se figent pas, tremblent. La musique est écoutée rapidemment, les pulls se doublent, les mains rougissent et moi, et moi, et moi (ça c'est Dutronc), je n'ai toujours pas le temps de poster comme je le voudrais... je reviens vite remettre de l'ordre dans tous ces articles ou il manque des mots, des photos, des titres, bref, des morceaux..

A

27 novembre 2010

21 novembre 2010

H comme..


Quelques images de l'exposition "Petit H" chez Hermès (malheureusement pas l'autorisation de photographier davantage, mais je vous conseille d'y passer, c'est une merveille. Beaucoup d'objet destiné à l'enfance comme des cordes à sauter, balancoires, animaux de toutes sortes, petits sacs, le tout fabriquer uniquement à partir de "pertes" de cuir, soie, peaux, et j'en passe..) Mettre un pied dans cette maison que j'admire plus que tout m'a redonné l'envie de porter un Carré. Et pas autour du cou, non, dans les cheveux.. :)

Belle semaine

A

18 novembre 2010

Une histoire de calendrier.

Nous traversons la période clé. Celle ou le calendrier prend soudainement une place considérable, importante, essentielle... Les enfants se préparent à se jetter sur celui de l'avent (miam miam les chocolats et les plus gourmands sont bien capables d'acheter deux, trois calendrier : "ben oui maman, un dans la chambre, un dans la cuisine et un dans le salon près de la cheminée voyons !" ben voyons !), les adultes s'affèrent sur celui de l'année et stabilotent à fond la caisse les journées les plus importantes à venir, youhou le rythme de fin d'année ! Bref. Une histoire de calendrier ça veut dire aussi de mon côté "étudiante en communication, presse, blablabla" de jolis partiels en prévision, une tonne de boulot, des séances révisions (ça c'est le côté chiant de l'affaire) mais aussi de jolies expos à ne surtout pas louper car le temps passe, un chouette projet pour le VDJ, des chocolats chauds entre amies à la sortie de l'école, des cahiers d'inspiration à noircir (ça c'est le côté méga chouette de l'affaire), et des tas d'occasions de dégainer l'appareil photo (naaaan steuplééééé pas maintenant faut que je travailleuh, oui mais tu peux pas, ne PAS photographier là, maintenant, tout de suite ! Certe...)
  

Alors au programme pour la fin de semaine : de jolies expositions (à ne pas louper : Petit H, dans la si belle et luxueuse maison Hermès, et l'exposition au Carrousel du Louvre avec 107 exposants, photographes et ambiance pays de l'Est), une petite parenthèse au cinéma (Les rêves dansants ou les Petits mouchoirs) un détour du côté de chez Marianne Gray (les cheveux poussent trop vite, y'a urgence), un gouter chez Chloé (la spécialiste des cupcakes à Paris - lieu façon maison de poupée, une merveille), deux, trois, quatres amies à photographier, un détour du côté de chez Petit Bateau (quand on est étudiante on a toujours un emploi d'étudiante eheh). Mais aussi un long travail de découpage, dessin, photographies, mise en scène, et je n'en dis pas plus... le tout noué d'une organisation monstre dans la repartition du temps.

Je voulais aussi m'excuser pour ce petit problème d'affichage de certains de mes articles.. (deuxième page et une partie de la troisième) un soucis au niveau du site sur lequel je chargais mes photographies... je tente de prendre du temps pour résoudre le problème ce week-end ou la semaine prochaine.

Je vous souhaite une très belle fin de semaine et je reviens bientôt avec un petit aperçu en image de ce programme de fin de semaine !

A

(Photos : Le grand comptoir - Bonton boutique - Site Hermès)

17 novembre 2010

L'E(nfance) dans l'A(dulte)

Parce qu'il existe des trésors sur la blogosphère dont j'aimerais parler davantage. Ces jolies photographies proviennent du regard d'une maman qui capte les choses et les mouvements "vue du ciel de l'adulte" "vers la terre de l'enfance". Il y a beaucoup de vues "du dessus" comme si l'on planais, l'on voyagait en volant au dessus d'un univers, son univers. Et j'ai toujours trouvé cette manière de figer les mouvements et les instants très intéressante. Alors j'en parle, un peu, beaucoup, passionnemment. Comme j'aimerais en évoquer beaucoup, mais celui là a ce petit je ne sais quoi d'esthétiquement connu et pourtant infiniment souple qui me retient. L'E dans L'A est un joli blog à découvrir ou redécouvrir, à feuilleter de l'oeil comme un scénario dont on ne connaitrait ni le début, ni la fin. C'est léger, apaisant, plein d'enfance et de charme.



Belle fin de semaine

A.

13 novembre 2010

Vent d'hiver.

Les boutiques enfilent leurs plus belles robes, top chrono : Noël s'installe. Ca brille, ca pétille, ca sent à plein nez le foie gras, le champagne, le rouge et le vert, le blanc et le doré, le feu de cheminée. Les pères noëls se multiplient (déguisement, jouet, étiquettes, j'en passe), les papiers cadeaux s'alignent comme des petits soldats, les adultent commencent à penser aux petits présents de chacun et demandent à leurs enfants des listes. Les champs élysées brillent déjà, les vitrines se transforment, les sapins débarquent.

 

Alors effectivemment, il y a du monde à photographier de novembre à décembre. On pense déjà aux codes couleurs des grandes tables du reveillon, on pense, on arrête pas, on prévoit, (on attend la neige ?). Dans les grandes surfaces les chocolats s'alignent depuis longtemps, les fameux et tant attendus "Pyréenens" sont bardés de codes multi-saveurs : chocolat au lait, chocolat noir, éclats de noisettes, blablabla y'en a pour tout le monde à tous les prix (oh oui). Mais l'approche des fêtes de fin d'année c'est avant tout cette luminosité changeante qui s'installe sur les photographies, les trottoirs, les vêtements, les regards..



Et que c'est agréable de la voir là cette lumière d'hiver se déposer sur les peaux, les projets et les objets... Elle est bleue, froide et pourtant si chaleureuse, sèche et pourtant si douce, brut et pourtant si souple. La retenir dans la fumée blanche des respirations, dans la maille des écharpes, dans le pli des manteaux, dans l'écriture d'un enfant. Et essayer coûte que coûte de se rapproche de l'essentiel. Car l'hiver est avant tout source d'essentiel.. 

 
A.

10 novembre 2010

Papier doré.


"Que l'enthousiasme que vous avez mis dans vos idées demeure au coeur de vos réalisations"
Michel-Ange


Cette phrase est notée quelque part dans mon agenda. J'aime la lire, la savoir là, planquée dans mes convictions et ma vision du travail. J'aime faire savoir que rien ne se fait sans un peu d'enthousiame, sans un peu de considération, sans un peu d'affection, d'envie et d'espoir. J'aime orienter mes actions professionnelles et personnelles sur ce rythme là. Et trouver le bon rythme même face à des "obligations" de parcours, c'est un long, long travail, je crois. Vivre les choses sans se permettre de les "subir", et j'utilise l'expression "se permettre" car je vois beaucoup de gens autour de moi qui se "permettent" de subir sans cesse les choses, les travaux, les démarches, le quotidien. Je ne généralise pas, non, j'observe, je regarde, je pèse sans juger car moi aussi parfois je me permet de subir sans trop m'en rendre compte. Là ou aujourd'hui je ne subis plus c'est que je conçois qu'un parcours professionnel ou personnel se construit aussi sur des choix, et des démarches pas toujours agréables, ou pas toujours à mon goût et pourtant tout est source d'apprentissage... Alors trouver le bon rythme, réussir à s'enthousiasmer d'un rien pour vivre les choses avec plus de recul, moins de contraintes auto-accordées, et plus de souplesse... 


En préparation d'un premier projet pour le Vestiaire de Jeanne (et là je n'ai pas besoin d'aller chercher l'enthousiasme car il est royalement là :))) ) A suivre..